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L'impédancemétrie vs l'IMC

  • dietrivat
  • 12 déc. 2015
  • 1 min de lecture

Le cabinet est équipé d’une balance impédancemètre professionnelle de classe III. Elle a une portée de 220kg.

Cette balance me permet de connaitre votre pourcentage de masse grasse et musculaire et osseuse. Elle est dotée d’un mode athlète qui offre une précision maximale.

Cette mesure est systématique pour la prise en charge des sportifs, mais elle peut également être réalisée en dehors de toute consultation diététique si vous souhaitez connaitre votre composition corporelle. Prévoir alors 15 à 20 minutes.

Il est possible d’avoir recours à cette mesure dans d’autres situations. Lors d’un suivi de perte de poids, afin de s’assurer du maintien de la masse maigre, de la bonne hydratation par exemple.

L’indice de masse corporel, IMC, n’est pas toujours un bon indicateur, reprenons l’exemple du sportif, un rugbyman de 110kg pour 1.95m a un IMC de 29kg/m2 ce qui correspond à un surpoids, et tend vers l’obésité. On ne peut donc pas interpréter cet IMC de la même manière. L’impédancemétrie est plus indiquée.

A l’inverse, un jeune homme de constitution moindre, actif et en pleine forme pèse 55kg pour 1.80m, son IMC est de 17kg/m2 ce qui correspond à un déficit pondéral, une maigreur. Pour autant, si son taux de masse musculaire est élevé, il n’a aucune raison de lutter contre cette maigreur constitutionnelle. L’impédancemétrie est une mesure utile car s’il est toujours possible de gagner quelques kilos, il est peu probable et pas forcément souhaitable qu’il atteigne les normes.

Voilà pourquoi à IMC égal, les silhouettes peuvent être si différentes, tout n'est qu'affaire de constitution et de répartition!


 
 
 

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